Depuis le 7 octobre, les yeux sont tournés vers la bande de Gaza. Bien que la situation s'aggrave ces derniers, elle donne un nouveau souffle aux militants pour l'existence de deux états. Un état israélien et un état palestinien. Tous les samedis, qu'il vente, qu'il pleuve ou qu'il neige. Les militants déambulent dans Bordeaux pour scander leur soutien à la population gazaouite, dont des milliers de personnes ont été tuées en représailles à l'attaque terroriste du 7 octobre.
Lors de ces différentes manifestations, j'y ai des manifestant·es qu'on ne croise pas d'habitude lors des mouvements sociaux. J'y ai rencontré Nasser, un cisjordanien de 53 ans qui vient tous les samedis. Il vient de Ramallah, à vécu en Martinique. Il me confie son inquiétude, sa mère vit là-bas, elle est vit au bord de la route principale et sa maison se fait régulièrement vandaliser par des soldats israéliens.
Lors de ces différentes manifestations, j'y ai des manifestant·es qu'on ne croise pas d'habitude lors des mouvements sociaux. J'y ai rencontré Nasser, un cisjordanien de 53 ans qui vient tous les samedis. Il vient de Ramallah, à vécu en Martinique. Il me confie son inquiétude, sa mère vit là-bas, elle est vit au bord de la route principale et sa maison se fait régulièrement vandaliser par des soldats israéliens.